Le gaspillage du pain pendant ramadhan
Le gaspillage est un index aléatoire de la consommation d’une part, et l’absence d’une culture de rationalisation des dépenses quotidiennes d’autre part, surtout à certaines saisons où l’on consomme beaucoup de pain. comme les occasions des fêtes, en ramadhan.. ce fléau est lié au comportement de consommation du citoyen algérien.. ou de nombreux algériens achètent des quantités de pain qui dépassent leurs besoins, ce qui pousse à jeter le surplus au poubelles
d ˊaprès moi ca revient au changement survenu dans la structure de la société algérienne, comme la mort des aînés de la famille ; comme le grand-père, la grand-mère et le père, et l* urbanisation de la campagne, de sorte que les familles en elle ne produit plus leur pain maison ( kessra) selon le nombre de la famille dont ils commençait également à consommer du pain produit en boulangerie. avec une grande quantité tant que le prix du pain en algérie et très abordable par rapport à d’autres pays, en ex temps les familles algériennes ne jettent plus le pain sec, mais le recyclent pour l’utiliser dans leurs repas ou pour certains animaux, comme les poules et les moutons
mais aujourd’hui, malheureusement, nous voyons de grandes quantités de pain, même amélioré, jetées dans les poubelles et sur les routes, sachant que c’est dans la nature des algériens de respecter le pain. Lorsqu’un algérien trouve un morceau de pain jeté, il le ramasse, l’embrasse avec ses lèvres et le pose sur son front : c’est une coutume héritée qui témoigne le respect de la grâce. mais cela a commencé à diminuer parce que nous ne réalisons plus la valeur de cette bénédiction. » surtout avec cette génération qui ne s’ intéresse à rien.
contrairement à ce qui se passe aujourd’hui, où le pain est jeté dans les décharges, dans les routes, les quartiers.. , les familles algériennes traitaient le pain d’une manière différente, car lorsqu’il devenait sec, elles en profitaient en le transformant en plats traditionnels a manger comme « porridge purée en pain» et « chakhchoukha ». le pain sec est coupé et cuit dans de l’eau avec du sel et de l’huile et ajouté quelques épices qui lui donneront une saveur particulière. Les conditions de vie que connaissaient autrefois les familles algériennes ne leur permettaient pas de jeter le pain.
Cependant, les jeunes d’aujourd’hui exploitent-ils le pain sec : ils le récupèrent dans des sacs chez eux même ou de décharges pour le sécher et le revendent aux éleveurs qui à leur tour le transforment en pâturage pour leur bétail.
Dont les vendeurs bénéficient d’une part de l’argent.
C’est pourquoi je conseille à mes frères algériens de ne pas gaspiller, car les gaspilleurs sont les frères des diables, comme Allah l’a dit. Saha ftorkom
LAMRI MOUDJAHED